REPORTAGE - À Copenhague et dans ses environs, la seconde main se pratique à ciel ouvert. Dans les rues résidentielles, sur les trottoirs ou devant les immeubles, chacun dépose livres, vêtements ou objets à donner ou à vendre. Le tout fonctionne en libre-service : un numéro de téléphone, une boîte aux lettres ou un écriteau “pay what you feel” (prix libre). Des pratiques ordinaires au Danemark, pays où la confiance interpersonnelle est l’une des plus élevées au monde.
Copenhague : la seconde main en libre-service dans la rue


Au Danemark, les habitants déposent devant leur maison des objets à vendre, tout repose sur la confiance.

Selon les stands, l’acheteur paie seul par MobilePay, l’application utilisée au Danemark et en Finlande, ou dépose l’argent liquide dans la boîte aux lettres.


Parfois un simple portant dans la rue, accompagné d’un mot : “Si vous êtes intéressé par une pièce, frappez à la porte ou appelez-moi”.
Des étagères improvisées accueillent vêtements, jouets ou livres à disposition des passants, voire du mobilier.

Certains organisent soigneusement leur stand, comme une petite boutique improvisée au bord du jardin.

Là où d’autres verraient un risque de vol, les Danois y voient une façon simple de prolonger la vie des objets.
Crédit CM-CM.fr
Catégorie : Vu CMCM

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